En présence de Lam LÊ, son film Công Binh au Festival International des Cinémas d’Asie de Vesoul le 16 février 2015 à 13h45
Extrait d’un message du cinéaste : Lam Lê : samedi 24 janvier 2015
Objet : Cong Binh revient fêter le Têt 2015
« De Hanoi à vous en France, dans le froid et le verglas,
prévenez vos ami(e)s de Franche-Comté de venir fêter l’année de la Chèvre de Bois avec le film Cong Binh, 3 jours avant le Têt 2015 au festival de Vesoul
http://www.cinemas-asie.com/fr/horaires/lundi-16-fevrier.html » ….
– Dans le cadre du 21ème Festival International des Cinémas d’Asie (FICA) de Vesoul du 10 au 17 février 2015, projection en sa présence du beau film intéressant et émouvant de Lam LÊ « Công binh – La longue nuit indochinoise » lundi 16 février 2015, 13h45 – 15h41 / Majestic 10
– Plus d’informations, voir :
http://www.cinemas-asie.com/fr/horaires/lundi-16-fevrier.html
http://www.cinemas-asie.com/fr/
– Coordonnées FICA
festival.vesoul (@) wanadoo.fr 33(0)3 84 76 55 82 33(0)3 84 96 01 43 25 rue Dr Doillon, 70000 VESOUL
– Pour se procurer le DVD du film avec des bonus (peut-être encore disponible aussi à la FNAC), voir ces liens de ADR PRODUCTIONS :
http://www.congbinh.net/ et http://www.adr-productions.fr/boutique.html
– CONG BINH : Extrait : « A la veille de la seconde guerre mondiale, 20 000 Vietnamiens sont recrutés de force en Indochine française pour venir suppléer dans les usines d’armement, les ouvriers français partis sur le front allemand. Pris à tort pour des soldats, bloqués en France après la défaite de 1940, livrés à la merci des occupants Allemands et des patrons collabos, ces ouvriers civils appelés Cong Binh mènent une vie de parias sous l’Occupation. Ils sont les pionniers de la culture du riz en Camargue. Considérés injustement comme des traîtres au Vietnam, ils sont pourtant tous derrière Ho Chi Minh pour l’Indépendance du pays en 1945.
Le film a retrouvé une vingtaine de survivants au Vietnam et en France. Cinq sont décédés pendant le montage du film. Ils racontent aujourd’hui le colonialisme vécu au quotidien et témoignent de l’opprobre qui a touché même leurs enfants. Une page de l’histoire entre la France et le Vietnam honteusement occultée de la mémoire collective. »